28 février 2009
DES DANGERS DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE...
La science progresse à grand pas.
En 1984 des chercheurs isolaient les premiers fragments d'ADN fossile à partir de momies égyptiennes... Et même si les parcs à dinosaures ne sont pas pour demain, grâce aux ossements et aux sédiments, l'ADN ancien permet de remonter le temps en livrant des secrets précieux aux historiens ou aux anthropologues...
Il se trouve que je viens dernièrement de mettre à jour un bocal de verre contenant ce qui semble être des cerises... mais le plus intéressant se trouve être la petite étiquette collée dessus... 1974.
Des cerises cueillies il y a 35 ans.
Une découverte qui allait me permettre d'en apprendre beaucoup.
D'abord, à l'observation, il apparait que les cerises de 1974 n'avaient pas de queues. Elles devaient donc pousser directement sur les branches, à l'abris des feuilles, ce qui les préservaient sans doute des oiseaux. Elles étaient aussi beaucoup plus molles que les cerises actuelles et d'une couleur plus foncée... Mais le plus étonnant c'est qu'elles n'avaient pas de noyau... Comment expliquer qu'autant de mutations aient pu intervenir au cours des 35 dernières années?? Il faut certainement y voir l'impact du réchauffement climatique (les cerises se sont progressivement asséchées, jusqu'à un phénomène de solidification en leur centre...). Si rien n'est fait, dans 10 à 20 ans, les cerises ne seront plus que de gros noyaux totalement impropres à la consommation.
Par ailleurs, le développement des queues de cerises semble s'expliquer par les efforts de la nature pour s'adapter aux conditions environnementales (s'éloigner des branches et des feuilles pour s'exposer aux précipitations et ne pas se dessecher trop rapidement).
Quoi qu'il en soit, il serait urgent de prendre ces éléments en considération afin d'anticiper les désastres que pourrait entrainer le réchauffement climatique déjà amorcé.
Il n'est jamais trop tard.
Pensez aux cerises.
En 1984 des chercheurs isolaient les premiers fragments d'ADN fossile à partir de momies égyptiennes... Et même si les parcs à dinosaures ne sont pas pour demain, grâce aux ossements et aux sédiments, l'ADN ancien permet de remonter le temps en livrant des secrets précieux aux historiens ou aux anthropologues...
Il se trouve que je viens dernièrement de mettre à jour un bocal de verre contenant ce qui semble être des cerises... mais le plus intéressant se trouve être la petite étiquette collée dessus... 1974.
Des cerises cueillies il y a 35 ans.
Une découverte qui allait me permettre d'en apprendre beaucoup.
D'abord, à l'observation, il apparait que les cerises de 1974 n'avaient pas de queues. Elles devaient donc pousser directement sur les branches, à l'abris des feuilles, ce qui les préservaient sans doute des oiseaux. Elles étaient aussi beaucoup plus molles que les cerises actuelles et d'une couleur plus foncée... Mais le plus étonnant c'est qu'elles n'avaient pas de noyau... Comment expliquer qu'autant de mutations aient pu intervenir au cours des 35 dernières années?? Il faut certainement y voir l'impact du réchauffement climatique (les cerises se sont progressivement asséchées, jusqu'à un phénomène de solidification en leur centre...). Si rien n'est fait, dans 10 à 20 ans, les cerises ne seront plus que de gros noyaux totalement impropres à la consommation.
Par ailleurs, le développement des queues de cerises semble s'expliquer par les efforts de la nature pour s'adapter aux conditions environnementales (s'éloigner des branches et des feuilles pour s'exposer aux précipitations et ne pas se dessecher trop rapidement).
Quoi qu'il en soit, il serait urgent de prendre ces éléments en considération afin d'anticiper les désastres que pourrait entrainer le réchauffement climatique déjà amorcé.
Il n'est jamais trop tard.
Pensez aux cerises.
26 février 2009
UN CIEL TOUT NEUF...
"Oh regarde Papa!! Il est tout neuf le ciel!!"
Quand on a presque 3 ans, un ciel dégagé, où le bleu domine enfin, c'est un ciel "tout neuf".
J'ai bien aimé cette phrase de mon fils ce matin, qui a pris le temps de lever les yeux vers le ciel alors qu'on lui pressait le pas comme d'habitude, et qui s'est émerveillé de le voir ainsi.
Quant on a presque 3 ans, on ne se lève pas dans l'appréhension de la réunion de 9h, on se fiche de la circulation et des perturbations dans les transports... on prend la journée comme elle vient, sans appréhension ni certitude... on prend le temps d'avoir un petit regard pour chaque chose, chaque petit détail qui échappe aux adultes pressés...
Quand on a presque 3 ans, on sait l'importance et la valeur des choses, les seules qui valent vraiment la peine...
Ce matin c'était ce ciel bleu, qui se dévoilait pour la première fois depuis longtemps... un joli bleu que je n'aurai même pas remarqué si mon fils n'avait pointé son petit doigt vers lui en s'écriant "regarde papa, il est tout neuf le ciel"...
Quand on a presque 3 ans, un ciel dégagé, où le bleu domine enfin, c'est un ciel "tout neuf".
J'ai bien aimé cette phrase de mon fils ce matin, qui a pris le temps de lever les yeux vers le ciel alors qu'on lui pressait le pas comme d'habitude, et qui s'est émerveillé de le voir ainsi.
Quant on a presque 3 ans, on ne se lève pas dans l'appréhension de la réunion de 9h, on se fiche de la circulation et des perturbations dans les transports... on prend la journée comme elle vient, sans appréhension ni certitude... on prend le temps d'avoir un petit regard pour chaque chose, chaque petit détail qui échappe aux adultes pressés...
Quand on a presque 3 ans, on sait l'importance et la valeur des choses, les seules qui valent vraiment la peine...
Ce matin c'était ce ciel bleu, qui se dévoilait pour la première fois depuis longtemps... un joli bleu que je n'aurai même pas remarqué si mon fils n'avait pointé son petit doigt vers lui en s'écriant "regarde papa, il est tout neuf le ciel"...